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LA CENSURE SUR YOUTUBE
ET FACEBOOK

YouTube et Facebook censurent presque en temps réel. Des scientifiques, des avocats, des journalistes, des médecins et de simples citoyens sont censurés, dès qu'ils sortent un peu trop des rails de la pensée officielle.

Sur YouTube, la censure est pure et dure. Le géant de la vidéo ne cache pas sa politique : filtrer les contenus qui ne vont pas dans le sens du poil de l’OMS et des gouvernements.

 

Les exemples sont légion. Ils ont beau être médecins, virologues, scientifiques éminents, statisticiens, philosophes, journalistes, intellectuels ou citoyens engagés, peu importe leurs distinctions, peu importe la qualité de leur argumentation et peu importe la consistance de leurs sources, ils sont littéralement bannis de YouTube, dès lors qu’ils expriment un scepticisme trop prononcé envers la stratégie médicale officielle.

 

Vous désirez quelques exemples ? Le site Crowd Bunker accueille une série de vidéos qui ont fait l’objet d’une censure sur YouTube[1]. Vous y trouverez à boire et à manger, mais notamment certaines réunions du Conseil Scientifique Indépendant, pourtant sérieuses, nuancées, pacifiques et bienveillantes en dépit de leur esprit critique. Le Grand Débat de Kairos s’est vu lui-même censuré. Les professeurs Christian Perronne[2] et Didier Raoult ont un curriculum scientifique que même leurs opposants qualifient de « bien garni »[3]. Pourtant, ils ont tous deux fait l’objet de censures, dans certains cas provisoires. Enfin, même une vidéo d’un média public, la Radio Télévision Suisse (RTS), a été censurée. Il s’agissait d’un reportage sur la situation du Covid-19 en Chine[4].

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Plusieurs réunions du Conseil Scientifique Indépendant, pourtant bienveillantes et ouvertes à la pluridisciplinarité, ont été censurées par la plateforme YouTube. Un exemple : https://urlz.fr/g2yC.Ce lien redirige vers la plateforme odysee.com, où sont désormais hébergées les réunions du CSI.

 

Une censure assumée par YouTube

 

Les règles de la plateforme sont claires : « YouTube n'autorise pas les contenus qui propagent des informations médicales incorrectes contredisant celles des autorités sanitaires locales ou de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) concernant le COVID-19. (…) Sont notamment interdits les « Contenus qui contredisent le consensus des experts d'autorités sanitaires locales ou de l'OMS au sujet du vaccin contre le COVID-19 »[5]

A certains moments, YouTube fait du zèle et censure des informations historiques factuelles ou des références à des travaux universitaires, au-delà même des politiques actuelles. Ce qui vaut la colère et l'indignation de l'avocat Fabrice Di Vizio, dans cette vidéo.

Ironie du sort, la vidéo que nous avions intégrée à l'article a, entre-temps, elle-même été censurée.

 

Le résultat de cette censure est triplement impactant. Tout d’abord, les voix dissidentes ne pourront pas se faire entendre sur la plateforme vidéo largement la plus utilisée au monde. En effet, YouTube est près de 10 fois plus consulté qu’une plateforme comme Vimeo, qui d’ailleurs n’est pas gratuite[6]. Certes, il s’agit d’un espace privé, qui peut donc établir ses propres critères de publication, mais la réalité est que c’est bel et bien l’endroit où se concentre la plus large audience.

Ci-dessus une prise d’écran de notre propre sélection de vidéos. Rien de violent, rien de pornographique, rien de diffamatoire : uniquement l’exercice de la libre pensée, censuré en moins de temps qu’il ne faut pour le dire.

 

 

La deuxième conséquence de la censure, c’est qu’elle peut décourager la libre expression et engendrer une autocensure. Non seulement pour les personnes directement concernées, mais aussi pour tous les autres qui assistent à ce climat punitif.

 

La troisième conséquence va être qu’une partie de la population risque de considérer comme suspects, voire irrecevables, les acteurs ayant fait l’objet d’une censure. Il est plus confortable de se ranger du côté du plus fort.

Facebook censure au gré de l'actualité

 

Sur Facebook et Instagram, même combat. Le réseau social mondial annonce les règles du jeu : « Facebook supprimera désormais toute une série d’affirmations mensongères sur le Covid-19 et la vaccination », a annoncé l’entreprise dans un communiqué datant du 8 février 2021[7].

 

Mais qui peut se targuer de distinguer à coup sûr le faux du vrai au cœur d’une crise qui bouleverse le monde et dont les enjeux nous dépassent ? C’est toute la question ! Et Facebook, en l’espace de quatre mois à peine, a dû adapter sa ligne.

 

En février, le réseau social annonçait qu’il supprimerait les messages affirmant que le coronavirus « est produit en usine ou fabriqué par l’homme », ou que le port du masque n’est pas efficace pour empêcher la contamination. Sans doute dans la foulée de la publicité des e-mails de Fauci, Facebook vient de faire volte-face au mois de juin : désormais, l’hypothèse de l’origine humaine du virus est acceptée[8].

 

La réalité démontre que Facebook adapte sa politique de manière arbitraire, en épousant le point de vue officiel dominant. « La modération par les plateformes obéit à des présupposés idéologiques », analyse Arnaud Benedetti, professeur associé à l'Université Paris-Sorbonne.

 

La conséquence est de taille : la liberté d’expression et le débat démocratique sont étouffés, de fait, sur ces espaces privés, mais tellement fréquentés qu’ils déterminent une grande partie de l’opinion. De manière très insidieuse, les grands médias sociaux habituent le public à la pensée unique et au politiquement correct.

LinkedIn rejoint les censeurs

Suite à la publication de cet article, nous avons appris une nouvelle déconcertante : un journaliste s'est vu rayé de la plateforme LinkedIn pour avoir une position qui ne rentre pas dans la ligne souhaitée. Du jour, au lendemain, le journaliste Richard Boutry, alias Ricardo, s'est vu supprimer l'accès à tout son réseau professionnel, soit le fruit de plus de 10 ans de travail[9]. Nous pouvons donc rajouter la plateforme LinkedIn au rayon des grands censeurs mondiaux.

Addendum - 07.08.2021

Le 4 août 2021, la chaîne YouTube de l'avocat Fabrice Di Vizio a été littéralement supprimée, sans préavis.

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