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GUERRE DE L'INFORMATION

20 dispositifs actuels contre la libre expression

En quelques mois, sous prétexte d’une guerre sanitaire, nos libertés fondamentales ont été lourdement malmenées et la libre expression, pilier de la démocratie, semble s’évaporer dans l’indifférence générale. De l’artillerie légère aux armes de destruction massive : nous explorons, dans cet article, l’arsenal déployé actuellement par les structures dominantes pour prendre le contrôle de la vérité.

Depuis plus d’un an, le vocabulaire militaire a envahi la scène. « Nous sommes en guerre », déclarait le Président français Emmanuel Macron dès le 20 mars 2020[1]. Depuis, les termes « couvre-feu », « état d’urgence », « blocage des frontières » inondent les colonnes des journaux, ainsi que le comptage des morts durant les « vagues d’assaut » du virus. Tenace lorsqu’il s’agit de défendre l’indépendance de ses positions, le microbiologiste Didier Raoult a publié, en novembre dernier, ses « Carnets de guerre COVID-19 »[2], histoire de révéler l’atmosphère belliqueuse dans laquelle se joue un véritable bras de fer pour faire émerger la vérité médicale.


La vérité qui valait 26 milliards de dollars


Personne ne peut nier que les enjeux sont gigantesques. La société Pfizer à elle seule prévoit que les ventes des vaccins anti-Covid puissent atteindre 26 milliards de dollars en 2021[3]. Or, ce marché titanesque peut s’écrouler du jour au lendemain si une solution médicale alternative apparaît comme efficace.


« Si un seul des traitements alternatifs dont on parle, notamment l’ivermectine, s’avérait fonctionner, l’autorisation pour le vaccin tomberait immédiatement parce que c’est une autorisation conditionnelle, qui est liée au fait qu’il n’existe pas d’autre traitement[4] », nous rappelle Xavier Bazin, auteur de l’ouvrage « Big Pharma démasqué ».

 

De fait, l’Agence Européenne des Médicaments (EMA) inclut parmi les conditions de mise sur le marché conditionnelle du vaccin une clause qui stipule que cette solution est provisoirement acceptée uniquement parce qu’elle rencontre un besoin thérapeutique non rempli, en l’absence d’une autre solution[5]. C’est une clé pour comprendre la guerre de l’information scientifique, qui se joue en ce moment.


Les gouvernements, quant à eux, ont engagé les finances publiques à des degrés jamais atteints. La Belgique pourrait mettre 10 ans pour revenir à la situation budgétaire d’avant-Covid[6]. Les privations de liberté et autres mesures restrictives ont eu un impact sévère sur toute une série de registres de la société : secteurs économiques en difficulté, indicateurs de santé mentale en chute libre, éducation et culture mises au ralenti.

 

Certains traitements médicamenteux, comme la chloroquine ou, plus récemment l’ivermectine, ont été écartés par l’OMS, l’Agence Européenne des Médicaments ou l’ANSM en France[7], pour des raisons essentiellement méthodologiques, qui suscitent, quoi qu’on dise, un débat au sein de la communauté scientifique. Si de telles mesures s’avéraient injustifiées, les gouvernements devraient assumer une lourde responsabilité et nous basculerions dans une affaire d’Etat.

Mais le débat ne se limite pas à un bras de fer pharmacologique entre le vaccin ou une solution alternative. Le grand absent des médias et des discussions gouvernementales, c'est... l'immunité naturelle ! Comme si nous étions tombés en amnésie de nos capacités de défense innées, qui sont à peine évoquées dans les stratégies sanitaires.


Un combat inégal


Si ces enjeux concernant les alternatives au vaccin faisaient l’objet d’un débat transparent et serein soit dans l’arène politique, soit dans l’arène scientifique, en toute indépendance des intérêts privés, ce serait somme toute rassurant. Mais l’observation du champ de bataille démontre que, en lieu et place d’un débat ouvert et démocratique, nous assistons à une véritable polarisation entre la « voix officielle », dictée par les gouvernements, les médias classiques et les conseils scientifiques officiels, d’une part, et des voix divergentes d’autre part, émanant de collectifs citoyens, mais aussi scientifiques.

 

Et dans cette arène où chacun exprime sa vérité, les uns et les autres ne combattent pas à armes égales. C’est un euphémisme. On pourrait dire qu’on assiste à un face à face entre des tanks blindés et des lanceurs de pierres.

 

Les stratégies mises en place pour contrer systématiquement les points de vue divergents rivalisent de créativité. Nous vous proposons d’en épingler quelques-unes.

Même si c'est mon adversaire qu'on censure, j'ai un souci


Le but de ce dossier n'est pas de vous rallier à l'un ou l'autre camp, ni d'influencer votre opinion. Il y a déjà bien assez de polarisation autour de nous. Mon objectif est de nous sensibiliser aux menaces très réelles qui pèsent sur la liberté d'expression. Mon travail vise à nous conscientiser des changements qui ont eu lieu dans le paysage de l'information et de la gouvernance, et en quoi ils sont préoccupants.

Si une personne qui a une opinion opposée à la mienne est privée d'expression, je ne m'en réjouirai pas. Même si c'est mon adversaire qu'on censure, j'ai un gros souci.

Peu importe que je défende la gauche ou la droite. Peu importe que je prône la naturopathie ou la vaccination ARN. Pourvu que je puisse m'exprimer et faire des choix libres.

La ligne rouge est franchie lorsque certains pensent à ce point détenir LA vérité qu'ils désirent museler, dénoncer ou diffamer ceux et celles qui s'en différencient. Le conflit surgit lorsque les uns empêchent les autres de penser autrement. Il y a circonstance aggravante lorsque les dénonciations d'une libre expression proviennent des gouvernements, des médias dominants ou des plateformes où le débat social s'opère. Dans ce cas, on glisse vers le totalitarisme.

 

Le danger commence avec la rhétorique du "fake-checking", qui sous-tend le privilège de décréter le "vrai". Mais il se trouve aussi parfois dans le "complotisme", lorsqu'il dénonce sans nuance un système dont nous serions les victimes, alors que nous en faisons partie. Dans les deux cas, on assiste à un doigt pointé vers l'autre. Un doigt accusateur qui ne peut enclencher qu'une dynamique belliqueuse.

Ce dossier n'est ni complotiste ni docile. Il est un sursaut citoyen, prioritairement centré sur ce pilier de démocratie qu'est la libre expression.

Sources :

 

 

[1] https://www.lemonde.fr/politique/article/2020/03/17/nous-sommes-en-guerre-face-au-coronavirus-emmanuel-macron-sonne-la-mobilisation-generale_6033338_823448.html

[2] https://www.decitre.fr/livres/carnets-de-guerre-covid-19-9782749946412.html

[3] https://www.lemonde.fr/economie/article/2021/05/05/covid-19-vers-des-profits-records-pour-pfizer-et-moderna_6079190_3234.html

[4] https://www.decitre.fr/livres/big-pharma-demasque-de-la-chloroquine-aux-vaccins-la-crise-du-cornonavirus-revele-la-face-noire-de-notre-systeme-de-sante-9782813224491.html

[5] https://www.ema.europa.eu/en/human-regulatory/marketing-authorisation/conditional-marketing-authorisation

[6] https://www.rtbf.be/info/economie/detail_la-belgique-risque-de-mettre-10-ans-pour-ramener-sa-dette-a-son-niveau-pre-covid?id=10766748

[7] https://ansm.sante.fr/actualites/lansm-publie-sa-decision-sur-la-demande-de-rtu-pour-livermectine-dans-la-prise-en-charge-de-la-maladie-covid-19

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